en avant je commence
Pour commencer comme je suis pas un pro en écriture et pas bon rédacteur, je préfère mentionner.
Voilà depuis tout petit jais un strabisme ou bien une déviation du regard sur une partie de chacun des yeux afin davoir la meilleur vision que possible.
Je me souvient quant jétais petit javais des super grosses lunettes vraiment insupportable, qui me faisais mal au nez et qui me rendais différent des autres.
Déjà tout petit je ressentais un écart, un rejet, certains regard me faisais peur et sans compter les réflexions de toutes sortes que je ne comprenais pas bien sur.
Je me rappel très bien de cet écart , de cet insupportable charge que jétais, par ce que très régulièrement jétais malade a lhôpital.
Quand je voyais mon père ( si on veut , ça sest encore autre choses ), qui sacharnais sur ma belle-mère ( pour moi sétais ma mère en étant tout petit je savais pas ), par ce que elle me protégeai de la méchanceté de mon père qui disait sans cesse que a chaque fois que javais quelque choses ou bien aller pour les yeux ect , cétais de ma faute, « je ne vois pas quel faute javais fait ».
Je voyais cette terreur en face de moi qui me souhaitais ne pas me voir et qui regrettais a chaque minute de me voir ou bien mentendre et moi je le voyait sacharner sur ma belle-mère comme un combat de boxe ou je ne sais bien quoi dautres.
Bien sur il y eut quelques bon moments en famille avec mes frères et surs qui étais réconfortant, comme jouer ensemble dans la cour, de toute façon on y étais a 80 % de nôtre temps et parfois a 100 % du temps, par ce que quand mon père le décidait il nous faisait rentrer quand il voulait, je me souvient de nôtre belle mère nous faisait rentrer au chaud en cachette, mais a chaque fois cétait la terreur et nous devions ressortir de la maison, je me souvient que mon grand frère nous faisais dormir dans de la paille pour pas avoir froid ou encore si sétait lhiver on dormais dans la niche de la chienne que nous avions, cette chienne on avais limpression quelle nous comprenais toujours avec nous, comme si on se sentais protéger.